Comme tout ce que je fais cloche ou recueille
Comme tout ce que je fais cloche ou recueille l'indifférence, je prends parfois la décision de ne plus rien faire du tout (dans les choses). Bien sûr, soit c'est rageant de mon côté car j'aimerais bien prendre part aux festivités (du coup je piétine en ayant hâte d'ouvrir ma gueule), soit mon silence et mon immobilité me sont reprochés pour les raisons que l'on comprend. Je me dis donc qu'il faut que j'en fasse quand même une partie (de ces choses) mais que je ne prenne tout de même pas le risque (inutile, vu ce que ça m'apporte) d'en faire l'autre partie : cela me semble une bonne manière de couper la poire en deux. Et bien entendu, la partie que j'ai faite n'est pas comprise et l'on me réclame la partie que j'ai laissée. Gag tellement prévisible qu'il n'est jamais drôle.